Archives mensuelles : avril 2013

Dès le début, la couleur est annoncée : Mais, par un singulier paradoxe, il n’est que les maris tyranniques qui sont regrettés, puisque les autres s’estompent dans la mémoire à force qu’on ne puisse rien leur reprocher. (I 1:05) Allons … Continuer la lecture →

Les vagues, le brouillard, les phares, le vent, tiennent un rôle prépondérant dans ce polar maritime. Après coup, je ne sais plus s’il y avait des bruitages ou si le souffle de la tempête n’a vécu que dans mon imagination. … Continuer la lecture →

Les mots et l’esprit d’une enfant de 12 ans renfermée sur elle-même sonnent juste, la narration est claire et délicate. Le délai d’incubation des somnifères m’a paru, comme à d’autres chroniqueurs de Babelio, un peu long, mais encore faudrait-il vérifier … Continuer la lecture →

Portée par l’enthousiasme amoureux que m’inspirait l’autofictif, j’ai approfondi ma connaissance de son œuvre avec le hérisson. L’animal, un sac à puces amateur de limaces et de charognes, petit goinfre nécrophage sale comme un peigne est décrit de manière fort … Continuer la lecture →

J’ai découvert il y a peu les éditions de l’Arbre vengeur. Un bibliothécaire inspiré en avait disposé toute une collection sur une table. Aguichée par l’étalage, j’avais enfourné dans ma besace Algernon Blackwood et Éric Chevillard. Je suis tombée en … Continuer la lecture →

Ce livre m’a laissée sur un malaise. Quelle violence des sentiments ! Sous couvert d’une historiette provinciale, se draine une histoire de vengeance bien raide. Il n’y a du reste pas beaucoup d’amour dans ce livre. Jocelyne ne semble attacher … Continuer la lecture →

L’autre jour, à la médiathèque, j’ai trouvé une table parsemée de petits livres aux couvertures qui m’ont sauté aux yeux. Il s’agissait de publications de l’Arbre vengeur. Titres, couvertures inusitées et résumés accrocheurs m’ont séduite, j’en ai attrapé deux. Jolie … Continuer la lecture →

J’écoutais nonchalamment L’humeur vagabonde, à l’heure du repas, lorsque j’ai été interpellée par les propos de l’interviewé. Son doux rapport à la mort et la compassion qui en découlait naturellement ont tracé un sillon qui m’a menée jusqu’à son livre. … Continuer la lecture →

La voix de Noëlle Châtelet est d’une grande douceur. Elle enrobe le propos douloureux, désemparé, la violence de la situation, d’une intimité parfois gênante. Le thème est riche et puissant par son originalité et sa profondeur de vérité. Il devient … Continuer la lecture →

Une belle voix, décidée, dynamique, au fond râpeux. Une musique jazz sympathique. Bernard est très antipathique. La narratrice inexistante, morne, sans passion. Je n’ai pas participé  à cet amour, je ne l’ai pas compris, et je suis donc restée insensible … Continuer la lecture →