Une écriture assez froide, impersonnelle pour des esquisses d’histoires qui m’ont laissée sur ma faim. Les thèmes ont un peu vieilli, ou j’en ai trop lus de similaires. Entre deux acrobaties temporelles, j’ai aimé l’histoire du woube (woub, woob, woobe ?), cet survivance d’une espèce ancienne, lourde, molle et gentille dont la stratégie de défense est de lire dans les esprits.
La voix douce et agréable, mais uniforme et neutre, ne donne pas le petit plus qui ferait pétiller l’écoute.