Une histoire qui voudrait se donner des allures de conte plein de philosophie sur la vie mais qui n’en a pas l’envergure. Les phrases sentencieuses toutes de mots et lancées d’une voix docte ne font pas le texte inspiré. Une poétique anthropomorphique creuse achève la dernière flamme d’intérêt qui aurait pu naître de la curiosité pour la vie des chamois.
La lecture murmurée et monotone n’améliore ni n’enlève rien au texte.