J’ai bien aimé la mise en place de la veillée avec ces femmes au caractère bien trempé qui dévalisent le garde-manger tout en commentant la vie du mort.Verve et sans-gène font bon ménage. Une très juste peinture. A la fois incongrue et réaliste. Le récit de Thérèse m’a par contre vite fait décrocher. Ce jeu littéraire incessant entre sa version et celle des autres, les contradictions, m’ont lassée. J’ai finalement pris beaucoup plus de plaisir à lire l’analyse qui en est faite sur le site Études littéraires qu’à parcourir ce livre expérimental vite abandonné.