Crévindiou, que c’est barbant ! Ce n’est pourtant pas faute d’aimer souvent les écrits d’Honoré. J’ai d’ailleurs été fort touchée qu’il s’imagine que nous avions cueilli la bruyère ensemble…
Rappelez-vous cette bruyère que nous avons cueillie, en revenant de la villa Diodati, cette fleur dont vous avez tant loué le noir et le rose, vous devinerez comment cette femme pouvait être élégante loin du monde […] (1:12:08)
Signe d’une connivence par-delà ces limites si contrariantes du temps et de l’espace… mais les « unions purement spirituelles », ça va un temps… quand j’ai vu que Félix et Mme de Mortsauf s’enferraient irrémédiablement dans une relation chaste, j’ai commencé à bailler. Que d’envolées lyriques, que de déclarations d’amour à la Touraine, que de compassion appuyée pour l’aristocratie en peine de royauté. C’est trop, Honoré. Tenons-nous en à la botanique si nous voulons garder de bons rapports…