Elle n’est pas affligée de ces curieux gargouillis d’estomac qui semblent si répandus chez les filles lorsqu’elles servent à table. (4:23:20)
Poirot s’introduit dans l’histoire de manière facétieuse et très distrayante. Agatha s’autorise quelques petites pincées d’ironie. On a l’impression que c’est poussif, et puis l’entourloupe finale… Pas mal, pas mal du tout ! Je m’étonne de n’en avoir eu aucun écho auparavant, ayant tant lu ou vu des adaptations de la romancière. Tant mieux, je l’ai découverte avec toute la fraîcheur d’âme souhaitée. Ne pas se laisser prendre par l’illusion collective, telle est la grande leçon d’Hercule Poirot.