R. J. Ellory, Les Anges de New York, lu par Hervé Bernard Omnes

The Metropolitan Museum of Art, New York 50.102.4 - R. J. Ellory, Les Anges de New York, lu par Hervé Bernard Omnes

The Metropolitan Museum of Art, New York 50.102.4

Écouté d’une oreille. J’aime bien Frank Parish, sa mauvaise humeur et son ironie de poulain rétif. Hervé Bernard Omnes le rend touchant et familier. L’intrigue est assez bien ficelée pour qu’on s’y colle même si on n’adhère pas aux convictions du personnage, partisan de l’éradication des méchants et de la peine de mort. Ça flanche un peu à partir de la confession du prêtre. Le rêche se transforme en larmoyant plein de bons sentiments. Les gentils ont fait leur boulot, le mal est circonscrit, finalement papa n’était pas si détestable que ça. Épluchures banales de culture américaine.

 

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