Elena Ferrante, Celle qui fuit et celle qui reste, lu par Marina Moncade

The Rijksmuseum, Amsterdam BI-F-B-SCHOLEN-1025-XVI-2

On passe de la romance à l’action politique et aux aléas de la création littéraire. Dense, contrasté, douloureux, chaotique, le récit entre dans une nouvelle masse d’air. Il se fait à la fois plus intime et plus engagé. La place de la féminité dans la société devient une question centrale tandis que les relations d’Elena et de Lina glissent vers une sphère mystérieuse, intériorisée. Roman protéiforme, un peu répétitif, aux personnages de plus en plus antipathiques – ou du moins égarés – ce n’est pas l’identification personnelle ou l’empathie qui fait fonctionner l’écoute. Où tout cela va-t-il nous mener ?

 

 

 

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