Stephen King, La tour sombre tome 1, Le pistolero, lu par Jacques Frantz

The Metropolitan Museum of Art, New York 2003.421

Sobriété zen, un sentiment d’étrangeté nous prend rapidement aux papilles. Je me suis facilement glissée dans l’essentialité du récit. Des points de repères connus mêlés à juste ce qu’il faut de mystère et de décalage pour éveiller nos sens. Jacques Frantz a travaillé ses voix dans une tonalité mâle et ironique, crissante. Surtout celle de l’homme en noir. C’est parfois difficile à supporter sans agacement. Mon attention s’est complètement perdue au cours de la rencontre finale. Tartines de digressions allégorico-spirituelles et interprétation sans nuances délicates ont fait choux blanc.

 

 

 

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