Virginie Despentes, Vernon Subutex 2, lu par Jacques Frantz

The Rijksmuseum, Amsterdam RP-F-2015-69-58

Une finesse de vue, d’observation, des vérités crues, quelques étincelles qui s’enflamment puis s’éteignent. Je suis plus en phase avec l’époque que dans le premier tome. Malgré tout, une telle impression de lenteur, d’ennui, de patauger en permanence dans la boue, se dégage du banc de Vernon que son sort m’est vite devenu indifférent. J’ai baissé les bras, comme lui. Abandon à mi-chemin.

 

 

 

 

 

Ce contenu a été publié dans Explorations littéraires. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *