La première nouvelle m’a beaucoup touchée. Ce rhinocéros qui vient guérir la solitude d’un professeur de philosophie – ami imaginaire, matérialisation d’un monde parallèle ou intrication quantique ? Peu importe – et l’accompagne fraternellement jusqu’à sa libération de l’existence ordinaire est entré en échos avec mes propres subterfuges mentaux. Un érudit rhinocerotidae comme incarnation de l’inspiration intérieure – si improbable et si encombrant que personne ne le voit ? Pourquoi pas ! Le reste du livre ne m’a pas semblé présenter un réel intérêt…