Anthony Horowitz, La maison de soie, lu par François Montagut

Anthony Horowitz, La maison de soie, lu par François Montagut

L’intrigue à ses débuts n’affole pas la curiosité. Sherlock ressuscité navigue dans des eaux très classiques autant par leur forme littéraire que par leur mise en place. Et puis, mine de rien, ça se complique…

Anthony Horowitz respecte l’œuvre d’origine en gourmet, sans que son amour ne le paralyse ou ne le fasse fondre de vénération sirupeuse. Il aimerait bien, des fois, prendre quelques libertés, comme dans ce passage où il s’interroge sur la vie de Mme Hudson. Une digression à son sujet serait tellement tentante… mais il se retient, sans doute par fidélité à ses engagements envers les ayant-droits.

Mes oreilles ont frétillé et se sont accrochées aux écouteurs, et c’est tout ce que j’en attendais.

 

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