En fouinant chez Gibert, je me suis laissée tentée par ce roman dont je ne connaissais rien. La couverture aux motifs aborigènes et la consonance nordique du nom de l’auteur ont suffisament flatté les affinités de mon coeur pour me pousser à l’acheter.
Si le début s’est laissé lire facilement, la lente descente éthylique du personnage principal m’a très vite lassée. Entre vomis et bas-fonds glauques, j’ai survolé les 2/3 du livre sans plaisir et juste dans l’idée de le finir.
Des personnages dont on a pas envie de connaître l’histoire, une intrigue peu stimulante et un assassin sans surprise… très peu emballée.