Sur ces quatre nouvelles, je n’en ai véritablement aimé que deux. La première, La chose dans la cave, est concise, efficace, lapidaire. En quelques pages tirées au cordeau, elle donne toute sa substance. C’est simple, ça tombe juste, il n’en faut pas plus pour faire turbiner l’imagination du lecteur et marquer son imagerie littéraire.
La morte n’est pas mal non plus. Je ne serai pas aussi dithyrambique que le préfacier qui la verrait bien intégrée dans les programmes scolaires, mais elle se tient.
Le chat tigre vire au baroque – elle a apparemment été écrite dans un but parodique – La bride magique est peu originale et moins bien construire que les autres.
Sans plus.