Nadine Monfils, La vieille qui voulait tuer le bon Dieu

Nadine Monfils, La vieille qui voulait tuer le bon Dieu

En courageuse lectrice qui n’a pas peur des folies, j’ai empoigné ce petit volume rose. Dans l’attente d’un gros pavé à dévaler en 30 jours chrono pour Masse Critique, il me fallait une lecture rapide et vite dévorée qui n’entrave pas mon dévouement à Babelio.

Du rythme ! Du vocabulaire sous-titré pour les français (Mmmm froucheler les garçons…), de l’irrévérence joyeuse. Ce passage en terrain Monfils a été une récréation bondissante. Avec elle, pas de risque d’attraper un Alzheimer des ovaires, la stimulation est assurée. Comme chez Terry Pratchett, la fantaisie pure est nourrie de culture. C’est du solide, sous des dehors négligents. Écriture et fond sont soignés. Je me suis beaucoup amusée et j’ai reconnu la plupart de mes voisins !

 

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