Jean-Luc Bizien, Vienne la nuit, sonne l’heure

Jean-Luc Bizien, Vienne la nuit, sonne l'heure

Je suis depuis de nombreuses années une fidèle lectrice de la collection Grands détectives chez 10/18. J’apprécie en outre les romans policiers se déroulant au XIXe siècle. Autant dire que j’avais un excellent a priori sur celui-ci.

… déception profonde !

Des tergiversations amoureuses qui m’ont laissée froide, des pirouettes temporelle qui n’animent pas vraiment le récit, de longs passages de journal intime assez creux…

Pour une histoire d’aliéniste aux prises avec une femme aux mœurs troubles sous une apparence socialement avenante, mieux vaut ouvrir un Caleb Carr.

[Lu dans le cadre du Prix des lectrices Confidentielles 2012]

 

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