Agota Kristof, Le troisième mensonge, lu par Éric Herson-Macarel

Agota Kristof, Le troisième mensonge, lu par Éric Herson-Macarel

La conclusion de cette trilogie en accentue le côté fascinant. L’imbrication des temps, des lieux et des esprits trouve une clarification en même temps qu’elle fait naître de nouvelles questions. Il faudrait maintenant tout relire depuis le début avec cet œil neuf.

Comme dirait Boris Cyrulnik : Avec une seule existence vous pourriez faire cent récits et ne jamais mentir. [Autobiographie d’un épouvantail p11] Cette série de romans illustre à merveille son travail sur la construction de l’image de soi.

 

 

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