Raphaël Jerusalmy, La confrérie des chasseurs de livres, lu par Julien Allouf

Raphaël Jerusalmy, La confrérie des chasseurs de livres, lu par Julien Allouf

Ça ne commençait pas trop mal. Le style était plat, mais pas désagréable. Malheureusement, les personnages sont restés plats, eux aussi, au fil de l’écoute. Survolés, sans épaisseur. Tandis que les imbroglios politico-religieux s’emmêlaient inextricablement. J’ai souffert. J’étais en voyage pour quelques jours à Toulouse et je n’avais rien d’autre à écouter. France Inter était en grève, la lâcheuse. L’indigence ou rien ?

Ce roman fait partie d’un flot actuel partant d’une bonne idée, d’un concept plutôt bien trouvé, mais ne tenant pas la gageure. Ces écrivains savent aligner correctement deux phrases mais quid du souffle, de la grâce, de la personnalité, du style, de la littérature en somme ?

 

Ce contenu a été publié dans Explorations littéraires. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *