Victor Tugelbend trouve qu’être soi-même est bien suffisant, qu’il n’est pas nécessaire de devenir quelqu’un d’autre en se professionnalisant pour les beaux yeux de la société. Ce qui n’implique nulle paresse, nulle lambinerie délictueuse. Bien au contraire, Victor fait des efforts et sait être assez malin pour organiser le confort qui lui convient au-delà de ce qu’on pourrait attendre de lui.
Ce personnage si séduisant dans ses débuts a fini par me lasser à force de ne pas tenir ses promesses. J’avais mis beaucoup d’espérances en lui.
Terry Pratchett s’amuse avec les références cinématographiques, mais le déroulement des événements est un peu attendu. Et les animaux qui parlent ne m’emballent pas. Pour tout dire je me suis vaguement ennuyée même si le livre reste inventif.