Henning Mankell, L’homme qui souriait, lu par Marc-Henri Boisse

Henning Mankell, L’homme qui souriait, lu par Marc-Henri Boisse

Dès les premiers instants, j’ai reconnu une histoire dont j’avais vu l’adaptation (excellente !) sur Arte. Les images qui me reviennent ne gênent pas l’écoute. Le texte est assez riche pour en avoir une deuxième approche sous une forme différente. Les dialogues intérieurs et les ajouts de perspectives renouvellent la trame.

Trame qui d’ailleurs laisse dès le départ deviner de quoi et surtout de qui il s’agit. Tout l’intérêt de l’histoire se situe au niveau du travail d’équipe et de la progression de l’enquête, tous deux passionnants. Pas d’ennui, pas de lourdeurs, pas de temps mort. De l’excellent polar. Wallander a bien fait de sortir de sa couette !

L’interprétation est excellente, savant dosage de douceur et de dynamisme qui met parfaitement en scène le personnage de Wallander. Le genre de lecture à haute voix qui enrichit le texte et en fait une œuvre cinématographique vocale.

 

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