Ne meurs pas sans moi, Suzanne Stock

Ne meurs pas sans moi, Suzanne Stock

Les deux personnes qu’elle pensait le plus proche, hormis son père, l’avaient trahie sous son nez, comme dans les scénarios à la guimauve de ces feuilletons télé dont elle se moquait. (41)

Oui, oui, absolument, alors pourquoi nous resservir une énième histoire issue de ce tonneau ?

Une écriture banale et standardisée. De longs débats de conscience sur la trahison, l’amitié, la culpabilité, l’expiation des fautes. Des histoires de couple banales à pleurer. Beaucoup de remplissage paresseux sur une structure de métal.

Ce polar très construit, trop construit, perd tout son intérêt dès qu’on a saisi de quoi il retournait. La troisième partie est quasiment superflue (sur un roman de 185 pages, c’est ennuyeux !)

[Lu dans le cadre du Prix du Meilleur polar des lecteurs de Points 2015]

 

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