Audur Ava Olasfdottir, Rosa Candida, lu par Guillaume Ravoire

Audur Ava Olasfdottir, Rosa Candida, lu par Guillaume Ravoire

La lecture est appliquée, toute en retenue. Elle colle bien au narrateur de 22 ans, tendre encore, peu atteint par la méchanceté et la violence, même s’il a eu sa part de douleur. D’ailleurs tout le monde est gentil avec lui : les aubergistes, les moines, les voisines, les bouchers. Cette chronique douce-amère n’est habitée que par des gens biens. Ce qui finit par laisser une impression d’inconsistance. On ne retrouve pas la fluidité de L’embellie. C’en est plutôt le brouillon.

 

 

 

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