Gentillet, sans éclat. Je me suis vite ennuyée. La seule particularité de ce livre, c’est sa concentration en mots tels que homo, bi, actif, hétéro, passif, ou gay à la ligne carrée. Indigestion. On sent tout le temps les intentions contenues dans les phrases (amuser, étonner, émouvoir…) L’humour est artificiel et poussif.
Bertrand Suarez-Pazos, qui a par ailleurs fait une excellente interprétation de Le monde selon Garp en perd son habileté, contaminé par la platitude générale.
Abandon autour des 28%.