Il parlait avec l’assurance de celui qui savait que le serpent était le pur produit de son imagination (212)
Je frétille de plaisir à chaque fois que je tombe sur des histoires de bêtes que je n’ai pas encore lues. Je ne me suis pas encore aventurée aux histoires de guerre vues par Kenneth Cook. Et à lire ce livre, j’y développerai même quelque réticence supplémentaire ! Entre citation tirée de l’Apocalypse et ambiance à la Stephen King, qu’est-ce que ce doit être quand on passe du sanglier au bipède !
Un sujet incontestablement original. Qui ne manque pas d’humour. Des personnages sympathiques bien que peu fouillés. Un état des lieux écologique de l’Australie l’air de ne pas y toucher. Et comme on dit de nos jours, un page turner qu’on ne lâche plus dans son galop final. Presque du thriller !
Pas le livre de Kenneth Cook qui m’ait le plus fait jubiler, mais je ne suis pas prête de l’oublier !