« Le cerveau humain, son fonctionnement »

Ce que nous en savons aujourd’hui

La genèse du féminin et du masculin

Le cas traité, en l’occurrence celui de la “patiente” Jan Johnson, nous démontre que la Vie humaine est fondamentalement “féminine”, mais pas de façon exclusive puisqu’en essence elle contient la production de la sexualité femme et homme.

Femme : chromosome XX
Homme : chromosome XY

La structure de l’ADN, porteuse des 30 000 gènes humains, est la même chez les femmes et chez les hommes, seul un gène les différencie. Sur les 46 chromosomes, seul le chromosome Y les différencie. C’est un très petit porteur d’ADN (une soixantaine de gènes). Le S.R.Y*., recevant la “pluie” de testostérone au cours de la sixième semaine de gestation dans l’utérus, oriente le fœtus vers la masculinité ; le XX (l’X à lui seul contient de deux à trois mille gènes) recevant quant à lui l’œstrogène engendre le féminin.DSC_8770 - blog

Ce qui est remarquable, c’est que lorsque le chromosome Y est pour des raisons “pathologiques” insensible à la testostérone, l’organisme retourne par défaut “d’information” à la structure féminine. (cas de la “patiente” Jan Johnson cité en référence dans le documentaire).

Ainsi, la conscience supra-humaine structure fondamentalement le féminin, qui est elle-même porteuse du masculin.

— extraits du documentaire scientifique de la BBC (2002) « Le secret des sexes », consultant scientifique professeur John Burn et intervenants Dr Roy Levin (physiologiste de la reproduction) Dr. Peter Goodfellow, réalisation David Stewart, diffusion sur Arte 5 —
*Le gène SRY (de l’anglais Sex-determining Region of Y chromosome) est un gène architecte situé sur le bras P (court) du chromosome Y en position Yp11.31 chez l’Homme
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Dans « Le cerveau humain et ses automatismes », (La magie de l’inconscient), extraits du documentaire scientifique – décembre © 2011, Film de Francesca D’Amicis, Peter Höfer, Freddie Röckenhaus, nous découvrons que :

— La sexualité de l’ardence amoureuse est le domaine où nous sommes le plus assujettis à notre cerveau.

– Les décisions importantes que nous prenons dans notre vie comme le choix d’un partenaire de vie ne se font pas sur des pensées conscientes.

Nous sommes en fait gouvernés par notre non-conscient. La conscience ne se manifeste finalement que quand tout est déjà déterminé par notre non-conscient. C’est un véritable tour de passe-passe qui nous leurre ! C’est une manœuvre d’illusionniste qui nous laisse l’impression, et seulement l’impression, que nous avons la maîtrise des choses.

Le cerveau et la relation sexuelle amoureuse fusionnelle

D’un point de vue clinique, être amoureux c’est être dans le stress. L’amygdale s’active – siège de la peur lorsque nous nous sentons menacés [objectivement ou pas] et nous met en état d’alerte – d’où l’agitation fébrile qui naît dans la relation passionnelle sexuée amoureuse.

L’état de panique lié à ce processus nous rend peu clairvoyant. Parallèlement, l’endorphine de l’hypothalamus nous met dans un état d’euphorie, tout comme la sérotonine produite par le tronc cérébral. Tout ceci agit conjointement comme une véritable addiction.

Ainsi la conscience baigne dans un état plaisant. Pendant ce temps l’hypothalamus produit la cortisole, hormone du stress, qui réduit notre perception lorsque nous sommes menacé(e)s ou sous le sentiment de cet état “amoureux”.

Pendant cette période, l’hypothalamus et la thyroïde réduisent la testostérone chez l’homme et l’augmentent chez la femme. Au bout de quelques temps l’hypothalamus sécrète l’ocytocine qui véhicule l’attachement. Elle est également produite par la thyroïde pendant l’orgasme et l’allaitement chez la femme. L’ocytocine n’engendre pas de stress mais plutôt l’empathie et le sens oblatif, qui ne sont pas du domaine de la conscience. Cette dernière a fortement tendance à rejeter ce genre d’attitude.

La relation amoureuse

L’activité du noyau accumbens (ensemble de neurones situés à l’intérieur de la zone corticale prosencéphale, petite “usine” à hormones) joue également un rôle dans les comportements d’addiction intenses et le système de “gratification”.

Même en cas de situations conflictuelles ou de désaccords, les circuits de l’inconscient sont actifs. Ils peuvent envenimer les choses à notre insu et inversement. Le rire est par exemple un facteur de rapprochement, et dans notre évolution, le non-conscient a su rire bien avant l’expression verbale ! Il en est bien évidemment de même pour le sourire.

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Le cerveau humain s’accomplit à 90% dans le non-conscient (de ce que nous faisons) et ce éveillé ou pas !

Quand nous avons une idée, la partie non-consciente de notre cerveau l’a eu bien avant la conscience émergée.

Nous sommes guidés par le non-conscient. Ainsi, la part du conscient est une illusion, elle est minimale. Généralement le cerveau se contente d’une estimation pour bien fonctionner.

L’ intuition humaine

C’est une anticipation dans le temps très bref qui puise sa source et son inspiration dans la base de données enregistrées et stockées dans le cerveau, la mémoire, constitutive de notre personnalité, (nous y reviendrons plus précisément dans les extraits d’un autre documentaire plus loin*).

Car si nous devions vivre les événements pleinement et en toute conscience, nous serions rapidement dépassés par ceux-ci !

En fait notre cerveau est très en avance sur notre conscient, en particulier via des ressentis corporels.

Pour conclure c’est le non-conscient qui de fait dirige la manœuvre. De sorte que même en cas de changement de perception des choses ou de notre comportement, c’est le non-conscient qui oriente tout.

La plupart du temps, notre non-conscient a le dessus sur notre réflexion, pour la bonne et simple raison que cette dernière fatigue le cerveau situé dans le cortex cérébral.

Le conscient situé en région frontale, ne peut gérer plus d’une pensée à la fois, ou cinq ou six unités d’informations ensemble. Le centre de décision conscient se situe dans la région au-dessus des orbites, (cortex orbito-frontal), mais ne décide pas seul. Il agit en collaboration avec l’hippocampe qui stocke toutes nos expérimentations. Or, c’est ce que nous sauvegardons et ce dont nous nous souvenons dans la mémoire qui détermine ce que nous sommes et ce que nous faisons.

Les centres de coordination

– Le centre de la peur et de la panique se situe dans le noyau amygdalien ainsi que dans les centres du plaisir et de la gratification (nous y reviendrons plus précisément dans les extraits d’un autre documentaire plus loin**).
Tous ces centres décisionnels échappent à notre conscient, et ont toujours le premier et dernier mot.

Le résultat se traduit par le sentiment.
Le cortex cérébral reçoit les informations sous forme condensée mais ne parvient pas à identifier d’où elles viennent ? Ainsi notre conscience tend à nier purement et simplement tout ce qui vient de l’inconscient !

Au cours de l’évolution humaine, le conscient est venu se greffer sur le non-conscient au niveau du cerveau primaire. Le conscient a dû apprendre à fonctionner avec l’inconscient, qui, bien que quelque peu “archaïque”, a encore une très grande influence.

La vitesse décisionnelle du cerveau dans le cadre de décisions complexes est de l’ordre de deux cent trente millièmes de seconde !

L’intuition n’est pas une fonction innée, elle se développe sur la base de l’ensemble de l’expérience et les innombrables répétitions.

L’effet d’amorçage

Notre environnement et notre passé récent influencent tous nos actes.
Notre raison a peu d’influence sur ce que nous sommes et sur ce que nous faisons.
Le cerveau humain brûle autant d’oxygène et de sucre que tous nos muscles réunis. Aussi le non-conscient prend-il rapidement le relais et les choses deviennent plus aisées, plus facile à gérer. C’est essentiellement pour cela que nous répugnons et avons beaucoup de difficultés à sortir des sillons de nos habitudes d’être, de fonctionner et de penser.

La créativité est en soit un acte de rébellion

Il faut être subversif pour aller contre les règles et les conventions établies d’un environnement, d’une époque et d’un temps humain donnés. Quand tout le monde accepte ce que vous faites, alors vous ne pouvez pas être un innovateur ou un visionnaire précurseur.

Les routines de pensées inconscientes
La créativité du cerveau se développe dans la cessation du flux continu des pensées routinières et non-conscientes.

Les quatre types de cerveau
Ils sont en rapport avec la présence des hormones dans le cerveau.
les aventuriers — la dopamine
les casaniers — la sérotonine
Ces deux types de cerveaux recherchent un équivalent à eux-mêmes et non la mixité.

les décideurs — la testostérone
les négociateurs — les œstrogènes
Ceux-ci par contre recherchent la mixité.
Et il est évident que tout ceci s’opère hors du champ de la conscience.

Le cerveau et la vitesse de décision
La décision consciente s’effectue de sept à dix secondes plus tard que le non-conscient. La conscience ne peut donc s’opposer aux décisions du non-conscient. Tout ce qu’elle peut faire c’est poser une réflexion après-coup !

Conscient et non-conscient
Le plus digne d’intérêt, ce n’est pas tant de savoir ce que sont le conscient et le non-conscient mais plutôt de prendre conscience de ce qui oriente vers la bonne décision au moment où elle doit intervenir !

Conclusion
Le cerveau change au fil des expériences qui sont vécues.

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« Recherche sur la mémoire » (Le cerveau humain)
(Extraits du documentaire scientifique – © 2010)
Film de Pétra Seeger, sur le prix Nobel de neuro-physiologie Eric Kandel

Chaque personne humaine a un cerveau qui diffère des autres selon son parcours et son “apprentissage”.

L’hippocampe est le siège de notre mémoire. Cette mémoire est le liant de notre vie mentale, c’est elle qui nous permet de trouver une continuité dans notre vie. Sans cet élément essentiel nous ne sommes pas, d’une certaine façon, nous “n’existons” pas.

Le processus “d’apprentissage” modifie le mode de communication entre les neurones appelé « transmission synaptique ». Et ce qui se passe au niveau des neurones se reflète dans le comportement ; d’où mémoire à court terme et mémoire sur le long terme.

La mémoire permet une vision cohérente du passé mettant en perspective nos expériences présentes.

Sans le liant de la mémoire notre vécu serait fragmenté en petits instants de vie. Ainsi, si nous ne pouvions pas remonter le temps mentalement, nous ne serions pas conscients de notre passé.

Nous sommes ce que nous sommes par nos “apprentissages” et nos souvenirs. Souvent un/des lieu(x), des odeurs, des sons, provoquent le souvenir.

Chaque neurone est chargé d’une énergie électrique, et notre cerveau fonctionne grâce aux signaux et impulsions électriques.

L’hippocampe est une structure profonde présente dans notre cerveau qui permet le stockage d’informations complexes de lieux, de personnes et d’objets.

L’activation d’un système de régulation du cerveau basé sur la dopamine ou sur la sérotonine libère le neurotransmetteur pour renforcer la connexion synaptique. Ainsi les synapses n’ont plus un seul terminal mais trois. C’est le processus de mémoire à long terme, qui par ailleurs modifie les gènes dans les neurones.

La psychologie et la neurologie vont vers une nouvelle discipline scientifique, les neurosciences.

La synapse chimique est la clé qui permet de comprendre comment fonctionne l’apprentissage de la mémoire. Cette synapse n’est pas fixe, elle est malléable, et peut être modifiée par l’activité dont elle est l’objet.

Ce qui nous arrive est constitutif de notre identité.

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« En finir avec la peur », Film de Sonjä Hachenberger, © 2011

La gestion de la peur émotionnelle et traumatique et le processus mémoriel appelé “consolidation”.

La peur est un signal d’alarme qui se met en route en cas de danger et qui nous permet d’assurer notre capacité de survie dans un milieu et un temps donné. C’est le sentiment de peur qui fait que le danger et sa menace (potentielle ou pas) restent en mémoire.

Car l’émotion forte ressentie imprime un “marqueur” sur notre cerveau porteur du message important. Le centre des souvenirs se concentre dans le système limbique qui est une des régions les plus archaïques du cerveau.

L’enzyme CDKS 5 qui sert à stocker les souvenirs, permet aussi de les conserver ; ce qui maintient dans la mémoire à long terme les expériences négativisantes comme un vrai poison qui peut prendre des proportions envahissant l’espace, tout l’espace de vie.
Les souvenirs ne sont pas rangés en un seul et même endroit.
Par exemple, en cas d’incident ou d’accident violent, le souvenir conscient va vers l’hypothalamus, tandis que l’émotionnel va vers l’amygdale. D’autres fragments seront stockés dans d’autres systèmes mnésiques.
Les souvenirs ne sont donc pas stockés en bloc, ils sont d’abord fragmentés avant d’être répartis dans diverses zones du cerveau.
Ainsi le souvenir est multiple. Factuel d’un côté, émotionnel d’un autre côté. L’émergence du souvenir est le produit de réactivations de zones multiples du cerveau. Ainsi il est très difficile de parler d’un lieu où seraient stockées des expériences personnelles. La structure de ce que l’on dénomme moi ou ego, est donc non pertinente de ce point de vue spécifique.

Elle est néanmoins un des noyaux du système limbique ; c’est le lieu de passage obligatoire de tout ce que nous vivons d’important, c’est là qu’échouent les émotions liées à un événement signifiant. L’amygdale joue un rôle de sélection dans ce qui doit être retenu ou pas. Si le “signal” est positif cela va vers l’hippocampe et la mémoire du long-terme.

Dans le cas d’un stress post-traumatique, les souvenirs peuvent s’imposer à notre conscient, et nous pouvons en devenir esclave. Les événements traumatiques sollicitent tellement les systèmes d’informations que l’on arrive à un blocage provoqué par saturation. Les événements, les émotions et les souvenirs liés au trauma sont comme gelés dans le cerveau et défilent en boucle. Il y a ainsi une réminiscence du temps, comme si l’événement était vécu dans un présent permanent, ne pouvant de ce fait être rangé dans un temps du passé (le conscient est du domaine du passé et du devenir, le non-conscient gère en grande partie le présent).

Si l’amygdale ordonne, l’hippocampe exécute. De sorte que si l’amygdale est hyper-activée et se retrouve de ce fait “victime” d’une saturation (burn-out), alors se dresse un mur qui fait barrage et l’hippocampe est hors-service, déconnecté.

Les décharges d’adrénalines se propagent dans les situations de stress et de peur, ce qui renforce le développement de l’émotion négative.
L’émotion renforce le souvenir ; l’adrénaline vient se loger sur les récepteurs et génère du stress.

Le processus de consolidation mémoriel se constitue en quelques heures après les événements traumatisants et une fois pour toute, comme scellé. Mais il existe un moyen pour engager un processus de re-consolidation lorsqu’un nouveau choc émotionnel se produit. Il est alors possible que l’ancien trauma remonte à la surface pour devenir un “nouveau” souvenir ; c’est la re-consolidation, qui repasse par un nouvel état d’instabilité. Car quand nous sommes confrontés à quelque chose qui nous heurte profondément, nous sommes comme frappés de stupeur par la foudre.
Les processus de verbalisation des choses ou d’écriture permettent cette reconstruction, cette re-consolidation.

Dans la mémoire autobiographique les événements ne sont pas uniquement classés en tant que pensées, ils sont aussi associés à une émotion.

Les souvenirs autobiographiques commencent à se former environ vers l’âge de trois ans, selon les sujets, et toujours en interconnexion avec “autre”. C’est ainsi que se constitue la personnalité d’une petite personne, d’un petit “moi” ou ego. Nous savons ainsi d’où nous venons, qui nous sommes, et ce qui constitue approximativement notre identité dans l’ensemble.

Si nous venons à perdre cette histoire qui nous est propre, personnelle, nous nous retrouvons “les mains vides”. Notre cerveau connaît “la touche supprimer” le souvenir, en particulier émotionnel, c’est l’amnésie, partielle ou totale.

Quand une personne est confrontée à une, ou à une répétition, d’expériences douloureuses, stressantes, dans ses jeunes années, alors il peut arriver qu’un nouvel événement douloureux fasse l’effet d’un “raz-de-marée”, et que son être tout entier soit remis en question.

Ainsi, “oublier” par quelques moyens que ce soit, tout ce qui fait être dans la douleur et la souffrance, est une forme de soulagement du pathos.

Amnésie psychogène

L’hyper-activité constitue un état d’alerte. Le cerveau peut proclamer une forme d’interdiction d’accès à des souvenirs trop pénibles à gérer.
Quand la peur détruit notre vie, nous avons besoin d’être aidés.
Les souvenirs constituent notre identité, nous les stockons avec une appréciation émotionnelle, voire “morale”, et ce sont ces appréciations qui déterminent notre comportement sociologique, et au sein du sociétal.

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Les travaux d’Elisa Epal (psychiatre à l’Université de Californie), nous révèlent aussi l’existence d’un lien direct entre l’émotionnel et le cellulaire. Ses observations lui permettent d’affirmer que nos “états d’être” engendrent une modification de notre ADN. Elle en vient ainsi à déduire que “l’humain n’est pas que le produit de sa génétique” et que “rien n’est en fin de compte vraiment irréversible”…

Quant au physicien (Université de Toronto, Canada) Aephraim Steinberg, il démontre que l’énergie lumineuse se comporte de façon non-duelle, comme particule corpusculaire quantique et en même temps comme “onde”, et que la visualisation de l’abstraction quantique est une réalité possible !

Jean Clottes*, émet une hypothèse de travail sur nos ancêtres directs, où il définit deux concepts de perception qui sont à la fois troublantes et inspirantes. Ces concepts sont ceux de fluidité et de perméabilité.

La fluidité est un état ressenti quand il y a interchangeabilité entre les “diverses manifestations” (l’ondulatoire des “consciences” en quelque sorte), qui ainsi, dans certaines conditions et circonstances peuvent “communiquer” entre-elles.

Broderie au point de croix (28 cm x 28) , Sandrine Grillet (2012), Corbeau Haïda

Broderie au point de croix (28 cm x 28) , Sandrine Grillet (© 2012), Corbeau Haïda

La perméabilité est un état sans barrières ni cloisonnement entre le corpusculaire manifesté et la “présence spirituelle”. Ainsi par exemple le chaman peut soit se projeter vers ces dimensions spirituelles, soit les inviter et se laisser pénétrer.

À partir de ces mode de perception, les lieux peuvent être accueillants ou hostiles, voire neutres.

Jean Clottes envisage la possibilité que les “artistes” ne se considéraient finalement pas comme tels, mais se pensaient plutôt “habités” par les “entités” de la supra-conscience de ce qu’ils représentaient.

* préhistorien français, spécialiste du Paléolithique supérieur et de l’art pariétal
(film documentaire « La Grotte de rêves perdus  » de Werner Herzog © 2010, (la « Grotte Chauvet » en Ardèche-France) du paléolithique de l’Aurignacien ; l’Homo-sapiens habilis (Jean Clottes, lui préférerait l’appellation de “d’Homo-spiritualis”).

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