J’ai lu l’introduction et essayé de survoler le reste – à haute altitude plutôt qu’en rase-motte je le crains.
On retrouve l’atmosphère des bandes-dessinées de Robert Crumb et de Fritz le chat en particulier. C’est émaillé d’un tas de références culturelles 100% américaines qui me passent au-dessus de la tête. Assez foutraque dans la forme, indigeste par excès de ni-queue, ni tête.
Pour initiés…