Bragi Olafsson, Les animaux de compagnie

Bragi Olafsson, Les animaux de compagnie

Je me suis sentie très rapidement des affinités avec Emil. Quelle délicieuse tentation que de se cacher sous son lit au premier coup de sonnette importun ! Vu les proportions que cet acte dicté par l’instinct de conservation le plus primaire provoque, il est sans doute préférable que je ne m’y sois jamais adonnée.

Emil se retrouve au niveau de l’acarien, sous son lit, pendant qu’une tornade irresponsable – dont la description est malheureusement et si exquisément réaliste – dévaste son appartement.

La foule s’amasse, le suspens monte, jusqu’à… jusqu’à quoi au fait ? Aaaargh ! Mais où est la fin ? Tellement désastreuse sans doute que Bragi Olafsson a préféré ne pas l’écrire !

 

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