Il pense qu’un petit don de télékinésie n’est rien comparé au pouvoir d’internet. (CD2 2h44’07’’)
Stephen King continue sur sa lancée tout en glissant avec souplesse et naturel vers le fantastique. L’enchaînement est plutôt bien tricoté, le motif du jacquard est simple et efficace. On croit à l’entremêlement des fils et des esprits sans se poser de questions superflues. Une dose d’humour décalé ravive les couleurs. Je retrouve bien, dans ce final, le style de l’écrivain, n’était cette intention prophylactique à l’égard de la jeunesse qui ternit le noir profond et mordant sur la note duquel on serait bien restés.