L’histoire n’est pas mauvaise, au début. Une certaine étrangeté, des maisons obscures. Une ambiance s’installe. Frédéric Meaux colle bien à la personnalité du narrateur. Petit à petit, on sombre cependant insensiblement dans une torpeur née du vide de ces pièces immenses, sans fondations. J’ai décroché aux alentours de la piste 40. Aucune ambition, aucune proposition littéraire. Tout juste de la pâte de surimi à laquelle on a rajouté un parfum artificiel pour lui donner une apparence de goût.
À ranger dans le carton ennui standardisé au goût insipide.