Donna Tartt, Le chardonneret

The Rijksmuseum, Amsterdam RP-T-1963-308

Mais traversée par un ersatz de frisson et une onde invisible de nausée, elle secoua la tête. (22)

Il faut vraiment que je songe à expurger de ma liste de projets de lecture les recommandations du Masque et la Plume ! Les déconvenues se succèdent au rythme d’une perte de temps que j’arrive heureusement à condenser. Un style vieillot qui imprime un doute constant sur l’époque à laquelle se passe le roman, des personnages dont la psychologie superficielle se noie en lieux communs et cette manie de délayer en vingt pages ce qui pourrait se dire en une seule ont rendu l’expérience décourageante. J’ai compris le déroulé en ne lisant qu’une ligne sur dix. Ça sonne faux tout le temps, c’est affreux. De la pisse de chat, comme on dit d’un café archi délayé.

 

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