Philippe Djian, Impardonnables, lu par Jean-François Stévenin

Philippe Djian, Impardonnables, lu par Jean-François Stévenin

L’ambiance est au polar noir, le ton celui du détective désabusé à la semi-dépression assumée. Des notes jazzy parsèment le fil de l’histoire et prolongent l’ambiance. Un peu de sexe, un peu de drogue. Un homme et une femme s’observent mutuellement d’un œil soupçonneux. Les rapports parents-enfants sombrent dans le déliquescent. Monde d’égarés sans direction ni intention, pâles hydromètres glissant sur la surface de la mare. Le livre s’écoute, j’ai souri deux ou trois fois, mais je n’ai pas été plus interpellée que cela. C’est le constat d’un monde gris et désespérant, ok. And so what ?

 

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